BDSM Library - Pleasures And Shame Of A Socialite (French)

Pleasures And Shame Of A Socialite (French)

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Synopsis: Beautiful Viviane finds pleasure in humiliation.

PLEASURES AND SHAME OF A SOCIALITE

Viviane est une femme très distinguée, élégante, sûre d'elle et de son charme. Veuve à 33 ans, elle a de nombreux prétendants, qu'elle tient éloignés avec une gentillesse un peu hautaine. Mais en même temps elle est incapable de s'opposer à celui qui la traite avec autorité, voire avec une certaine brutalité. Celui-ci peut alors la prendre n'importe quand et n'importe où, se contentant d'ouvrir rapidement ou de baisser les vêtements qui couvrent son sexe pour permettre une pénétration rapide, sans ménagement et sans tendresse. Malgré cela, Viviane est capable de jouir intensément dans ces conditions, même, et on peut ajouter surtout, si elle les ressent comme humiliantes. Cela l'a amenée plus d'une fois à accepter ce qui pourtant, à son avis, est inacceptable pour une femme qui se veut vertueuse comme elle. Tony, un homme nettement plus âgé qu'elle, rencontré peu après la mort de son mari, s'en est vite rendu compte et a pris sur elle une emprise totale, l'utilisant pour son plaisir à sa guise, et la punissant par des fessées vigoureuses chaque fois qu'elle lui a déplu.

Il sera, je l'espère, intéressant de raconter, dans le désordre, quelques épisodes de sa vie.

UNE SOIREE MONDAINE

Il vaut la peine, pour commencer, de raconter la soirée qui a marqué une étape nouvelle dans la dégradation de Viviane. Elle et Tony étaient invités chez des amis. Pendant le repas, elle avait été brillante à son habitude, sûre de sa beauté, de son charme et de son intelligence. Cela l'a amenée, comme souvent, à faire de l'ironie aux dépens de la plupart des présents, hommes ou femmes. Pendant le café, alors que tous étaient confortablement assis dans des fauteuils ou sur le canapé, elle a décoché une flèche particulièrement dévastatrice vers un homme qui lui avait déplu dès le début, le trouvant très grossier et antipathique. Tony a immédiatement réagi : -Tu dépasses les bornes, tu dois être punie, et cette fois tu le seras ici même, devant tous ceux que tu as agressés. Viviane comprit qu'en insistant sur « cette fois », il voulait faire savoir à tous que ce ne serait pas la première fois que cette femme si hautaine serait physiquement châtiée. Elle a rougi, et a tenté de le fléchir : -Non, chéri, pas ici, je t'en prie…

Mais sa voix tremblante montrait qu'elle savait que sa plainte serait inutile, et que son humiliation était inévitable. Tony a repris : -Lève-toi et mets-toi en position devant la cheminée. Tu sais comment.

Viviane a étouffé un sanglot devant cette nouvelle allusion à des châtiments qui lui faisaient tellement honte, mais auxquels elle était incapable de s'opposer. Elle s'en voulait de sa passivité, mais a obéi quand même, très rouge, mais tentant de faire bonne figure, comme si cela ne pouvait pas l'atteindre. Arrivée devant la cheminée, elle s'est un peu penchée en avant et a posé les mains à plat sur elle. Tous les présents ont pu apprécier à quel point cette position lui était familière, ce qui a été commenté à haute voix.

Tony l'a laissée dans cette position honteuse pendant un moment, puis a demandé à une des femmes présentes, une de celles que Viviane avait le plus critiquées, si elle voulait bien se charger de la nécessaire fessée, en précisant : -Comme d'habitude, elle doit être fessée cul nu. La femme a souri, s'est levée et s'est approchée de Viviane, qui n'avait pas bougé, mais dont on voyait aux mouvements de ses épaules qu'elle pleurait.

La femme avait environ soixante ans, très élégante, encore belle. Tranquillement, elle a pris le bas de la robe de Viviane, l'a levé et l'a coincé dans sa ceinture. Tous ont pu voir qu'elle portait de fins collants et une culotte de dentelle. La femme les a baissés lentement, les amenant à mi-mollets. Les somptueuses fesses de Viviane étaient entièrement exposées ; La femme s'est écartée pour que tous puissent bien les voir, et a commencé la fessée, doucement d'abord, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Dans le miroir au dessus de la cheminée, on pouvait voir le beau visage qui tentait d'abord de paraître impassible, puis grimaçait à chaque coup et enfin, n'arrivant plus à se maîtriser, se couvrait de larmes pendant qu'on pouvait entendre ses gémissements, puis ses cris. Après quelques minutes, alors que ses fesses devenaient rouges, elle s'est même laissée aller à supplier qu'on arrête, demandant pardon et promettant de ne plus recommencer. La femme a regardé Tony d'un air interrogatif, mais il lui a fait signe de continuer. Viviane semblait souffrir de plus en plus, elle vacillait sur ses jambes, ses genoux fléchissaient. Tony enfin dit qu'elle pouvait arrêter La femme s'est retirée, visiblement à regret.

Viviane, croyant que son épreuve était terminée, s'est retournée et a commencé à remonter sa culotte, mais Tony l'a immédiatement arrêtée. –Reste en position, ce n'est pas fini !.

Avec de nouvelles larmes, Viviane a obéi. Tony s'est adressé à tous les présents : -Estimez-vous que cette charmante dame a été suffisamment punie ? Presque tous ont dit que non : ils appréciaient trop cette scène exceptionnelle. Il a repris : -La suite de son châtiment sera d'une autre nature. Se tournant vers l'homme antipathique avec qui Viviane avait été particulièrement méprisante : -Cher ami, que diriez-vous de prendre cette belle femelle ? Je suis sûr que le spectacle auquel nous venons d'assister vous a donné quelques désirs. Elle est à vous pour les satisfaire. Quoi qu'elle pense, je suis certain que sa chatte aspirera goulûment votre membre.

Viviane a esquissé une timide protestation : -Non, s'il te plaît, pas lui, pas devant tout le monde… s'il te plaît, je serai sage, je t'obéirai toujours… pas ça… Protestation évidemment inutile. Tony n'y a même pas réagi, et l'homme s'est avancé vers cette croupe si bien présentée. Il a mis les mains à l'intérieur des cuisses de Viviane pour les ouvrir, et a constaté que leur écartement était limité par les dessous qui l'entravaient. Il s'est adressé à la femme qui était restée à côté, lui disant -Voulez-vous retirer ces vêtements qui me gênent. Je veux pouvoir la pénétrer commodément. La femme s'est penchée pour le faire, et a dû retirer les chaussures pour ôter le collant. Elle s'est tournée vers Tony : -Je les lui remets ? –Non, une pénitente n'y a pas droit.

Pendant ce temps, l'homme avait ouvert sa braguette et sorti un membre énorme, long et épais, déjà complètement dressé. Il s'est approché de Viviane et s'est enfoncé d'un coup, comme Tony l'avait prédit, ce qui a suscité des commentaires du genre : -La salope était déjà trempée ! elle aime être fessée ! La jeune femme a poussé un cri au moment de cette invasion de son intimité, mais très vite s'est reprise et a tenté de rester digne, de ne pas donner à cet homme la satisfaction de la faire jouir, et aux autres le plaisir d'assister à sa défaite. L'homme a commencé à aller et venir lentement dans son vagin, puis de plus en plus vite, surveillant ses réactions, en amant habile et expérimenté. On voyait dans le miroir Viviane serrer les dents, mais bientôt ses gémissements ont montré qu'elle perdait le contrôle et que peu à peu elle ne pouvait que s'abandonner au plaisir qui montait ; C'est le moment que l'homme a choisi pour se retirer en partie et rester immobile. Croyant qu'il l'abandonnait, Viviane, perdant toute pudeur, a crié : -Non … non… finissez-moi… je veux jouir…

Souriant de sa victoire, l'homme se retira complètement, provoquant chez Viviane un râle de déception. Il l'a alors pénétrée d'un coup, et un long cri a fait savoir à tous qu'elle jouissait intensément. Il l'a amenée à un orgasme complet, et s'est retiré sans avoir lui-même joui, se réservant pour la suite. Viviane, épuisée par ses sensations intenses, est tombée, ses jambes ne pouvaient plus la soutenir. Elle est restée ainsi recroquevillée à terre, demi nue, secouée de sanglots de honte de s'être donnée ainsi en spectacle. Elle oubliait son habituelle pudeur, et exposait son sexe luisant de ses sécrétions. Après quelques minutes, elle a repris ses esprits et a tenté de se relever. Mais Tony veillait.

-Je ne t'ai pas dit de te relever, tu es à ta place par terre. Monsieur, ajouta-t-il en s'adressant à celui qui avait si bien joué le rôle attendu de lui, ne voulez-vous pas profiter de la position de cette femme pour l'utiliser d'une autre façon ? L'homme, évidemment, approuva, ravi. Tony se pencha et souleva Viviane pour la mettre à genoux, puis appuya sur sa nuque pour poser sa tête à terre. Dans cette position, sa croupe était encore mieux offerte que précédemment, et entre ses cuisses que Tony avait écartées fermement, on pouvait voir sa vulve. –Voilà, elle est à vous, cher ami, et à qui d'autre en veut. Vous avez le choix entre deux conduits, tous deux aussi délectables, j'en ai l'expérience.

Quand ils rentrèrent, le sexe de Viviane et son anus dégoulinaient du sperme de cinq hommes, elle avait les fesses rouges et brûlantes, et elle ne savait plus combien de fois elle avait joui. Elle en avait honte et, une fois de plus, elle se jura que cela ne lui arriverait plus…

QUELQUES ANNEES AUPARAVANT

Il y avait beaucoup de monde à la Gare de Lyon quand Viviane y est arrivée. Le train de nuit pour la Côte, qu'elle voulait prendre pour rejoindre son mari, partait 20 minutes plus tard, et elle n'avait pas de billet. Elle se précipita vers le premier guichet qui vendait les billets pour les trains en partance, où attendant déjà une queue assez longue Viviane y prit place juste au moment où un homme y arrivait aussi. Il lui déplut immédiatement, c'était un homme assez gros, au visage rouge, habillé de vêtements p)robablement chers, mais trop voyants. Deux bagues brillaient à ses doigts, ce qu'elle trouva vulgaire.

Viviane et lui arrivèrent en même temps et se heurtèrent. Elle, sûre de son bon droit, et habituée à voir les hommes céder devant son charme, le regarda froidement : -Monsieur, j'étais là la première ! L'homme sourit, très calme : -Mais certainement, Madame, passez, je vous en prie. Viviane eut un instant d'embarras devant cette politesse à laquelle elle ne s'attendait pas, et pris sa place dans la queue sans plus s'inquiéter de l'homme.

On annonçait le départ du train quand elle y arriva, eut juste le temps d'y monter et commença à chercher son compartiment de deux couchettes, la seul qui fut encore disponible, bien qu'elle ait été habituée à voyager en single quand elle était seule. Elle prit place sur la banquette, en attendant que l'homme des Wagons-lits vienne déplier sa couchette. Elle vit avec soulagement que celle d'en face était inoccupée.

Viviane pensait à son mari qui l'attendrait en gare de Nice, à la façon dont il la serrerait dans ses bras et l'emmènerait à leur hôtel où, espérait-elle, il lui ferait l'amour comme toujours avec tendresse, attentif à son plaisir à elle plus qu'au sien. Elle rêvait ainsi quand la porte s'ouvrit, et l'homme de la queue entra, posa bruyamment sa valise dans le filet et s'assit lourdement. Ce n'est qu'à ce moment qu'il sembla s'apercevoir de la présence de Viviane, et la salua cordialement, avec un sourire ironique. Elle répondit par un hochement de tête hautain, pour bien marquer qu'elle n'avait aucune intention d'avoir une relation quelconque avec lui. Il n'insista pas, sortit d'un sac en plastique un sandwich et une canette de bière, et commença à manger. Viviane, qui avait prit la précaution de dîner avant, supportait mal l'odeur du saucisson et le bruit de l'homme qui mangeait.

Ce fut le contrôle des billets, puis la mise en place des couchettes. Viviane, gênée par la présence de cet homme si antipathique, se contenta de retirer ses chaussures et s'allongea. Après un moment, l'homme s'adressa à elle : -Vous allez en vacances, ma petite dame ? Viviane ne répondit pas. Elle fut un instant tentée de fermer les yeux et de faire semblant de dormir, mais finit à garder les yeux ouverts, sans répondre, pour bien faire comprendre qu'elle n'avait aucune envie d'entamer une conversation avec lui. Il fit deux autres tentatives, sans plus de résultat. Il se leva et s'approcha d'elle et se pencha, la surplombant de tout son volume : -Alors, ma petite dame, on n'a pas appris la politesse ? On méprise ceux qui ne sont pas de son monde ? Vous méritez une bonne fessée pour vous apprendre les bonnes manières !

Outrée, Viviane voulut le gifler, mais sa position la rendait maladroite, et l'homme n'eut pas de peine à saisir son poignet avant que la main n'atteigne sa joue. –Pas de ça, ma petite dame, je ne suis pas votre valet… et il faut que vous compreniez qu'on ne bat plus les valets. Vous avez vraiment besoin d'une leçon.

D'un geste brusque, il retira le drap dans lequel Viviane s'était enveloppée pour la nuit. Elle poussa un cri d'indignation et tenta de le lui arracher, inutilement. Ce fut lui qui le lança aussi loin que le permettait l'espace exigu de la cabine. Viviane tenta de le prendre de haut ; s'efforçant de garder son calme, elle lui dit : –Monsieur, je ne vous connais pas, et je n'ai aucune envie de connaître un goujat comme vous. L'homme ricana : -Ça, je l'ai bien compris, mais tu vas quand même l'avoir, ta fessée !

Avec force, il la tira, la mit debout, la retourne et la fit courber en avant sur la couchette. Elle tenta de protester et de se débattre, mais il ne semblait pas entendre ses protestations, et il était suffisamment vigoureux pour qu'elle ne puisse pas lui résister. Il la plaqua sur la couchette d'une main entre les épaules, et commença à claquer ses fesses. Au premier coup, Viviane poussa un cri, plus de surprise que de douleur, mais se reprit très vite, et s'efforça de rester stoïque, de ne rien manifester et de montrer que tout cela ne l'atteignait pas. Après une douzaine de coups sur la jupe, il la releva et poussa un sifflement admiratif : -Quel beau cul ! Un cul fait pour le plaisir des hommes ! Mais pour le moment, je vais le faire rougir pour t'apprendre la politesse, ma belle ! Je vois que tu n'as pas de culotte, et ce n'est pas ce mignon collant qui va te protéger !

Il frappa la croupe de Viviane de plus en plus fort. Elle ne pouvait plus garder son attitude stoïque et hautaine et commençait à pleurer et à crier. Mais au bout d'un moment l'homme se rendit compte d'un changement : les cris devenaient des gémissements, et il sentait que ses muscles étaient moins contractés, et elle ne faisait plus d'efforts pour s'échapper. Il eut un sourire de victoire. Sans un mot, il mit la main entre les cuisses de Viviane, qui poussa un cri indigné, mais ne bougea pas. Il retira sa main et la renifla : -Tu mouilles, salope, tu aimes ça. Et bien, tu vas être servie !

Sans la laisser se redresser, il sortit de sa poche un petit canif, pinça le collant à l'endroit du sexe et le découpa, juste une fente d'une dizaine de centimètres à peine, qu'il agrandit légèrement en déchirant le fin tissu, qui céda facilement. Il n'essaya pas de la dévêtir plus, comme si le corps de cette femme n'avait aucun intérêt, comme si elle était réduite à son sexe. Viviane haletait, essayait vainement de reprendre sa dignité, mais en même temps s'ouvrant pour cet homme. Lui, calmement, ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe déjà dur, à la tête violacée. Sans se presser, il le dirigea vers le sexe de Viviane à travers la fente du collant et s'y enfonça lentement Elle réagit très vite, comme si elle n'attendait que cette pénétration.. Ses fesses ondulèrent, son vagin absorba avidement cette queue inconnue. Elle cria, sa croupe se colla contre le ventre de cet inconnu comme si elle voulait être sûre de l'absorber au maximum. Viviane, si réservée, si hautaine, jouissait en hurlant son plaisir. L'homme ne se retira pas, attendit un instant qu'elle se calme et recommença à aller et venir, la faisant jouir encore deux fois.

Il se retira enfin, le sexe encore dressé, souleva la tête de Viviane par les cheveux et présenta son sexe à sa bouche. Elle eut un mouvement de recul, mais très vite revint, ouvrant au maximum la bouche pour absorber complètement ce sexe énorme. L'homme prit sa tête à deux mains, et la fit aller à son rythme jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour et décharge son sperme sur ce visage déjà maculé par les larmes qui avaient fait couler le maquillage. IL la repoussa et retourna s'allonger sur sa couchette sans un mot.

Brusquement, Viviane se mit à pleurer : calmée après ses trois orgasmes, elle avait honte de ce qu'elle avait fait. Elle se pencha pour reprendre le drap qu'il avait arraché, mais il réagit tout de suite : -Laisse ça ! Je ne t'ai pas dit de te couvrir ! Ôte plutôt ta jupe, et ton collant, tu es ridicule avec cette fente !

Essayant de reprendre quelque indépendance, elle continua son geste, prit le drap et commença à s'y enrouler. L'homme la regardait avec un air ironique. Il attendit qu'elle soit bien couverte pour se lever et, sans effort visible, la mettre debout. Ignorant ses protestations et ses tentatives pour lui échapper, il la gifla deux fois, et la retourna et claqua plusieurs fois ses fesses. –Apprends à obéir à ceux qui te baisent. Tu étais bien contente, tout à l'heure d'avoir ma queue dans ta chatte ! Dis-le, que tu étais contente ! Nouvelles claques. Viviane serra les dents ; elle ne céderait pas une deuxième fois à cette brute. Mais la fessée continuait, sa volonté faiblissait. –Arrêtez, arrêtez, je vous en prie. Qu'est-ce que vous voulez ? –Dis que tu as aimé avoir ma queue dans ta chatte, et que tu veux l'avoir encore !

Elle résista, serra les dents, mais finit par céder : -Oui… oui… j'aimais avoir votre queue dans ma chatte… voilà, je l'ai dit, arrêtez. L'homme sentit que comme durant la première fessée, Viviane commençait à s'abandonner. Il insista, maintenant sûr de sa victoire sur cette femme si distinguée : -… et tu la veux encore ? Dis-le ! –Oui…oui… -Oui quoi ? nouvelle claque.

-Oui, mettez-moi de nouveau votre queue dans ma chatte. –Mieux que ça ! demande à genoux !

Complètement matée, reprise par son désir de jouissance, Viviane se laissa tomber à genoux devant l'homme. –S'il vous plait, monsieur, prenez-moi de nouveau, mettez votre grosse queue dans ma chatte, enfilez-moi, je suis à vous… faites-moi jouir !

Elle s'agrippa aux genoux de l'homme, sa bouche cherchant le sexe à travers le pantalon. Sans avoir besoin d'un nouvel ordre, elle se débarrassa du drap et très vite dégrafa sa jupe et arracha son collant. Nue sous la ceinture, elle s'allongea par terre et ouvrit les cuisses, tendant les bras pour l'attirer sur elle, dans elle. Lui se contenta de la regarder avec toujours le même sourire ironique. Puis, lentement, il se plaça entre les jambes ouvertes de Viviane et appuya la pointe de son soulier sur le sexe offert. Elle se frotta contre le cuir, essayant de se faire jouir par ce contact. Quand elle fut près d'y arriver, il retira brusquement son pied. Elle poussa un cri de frustration et s'ouvrit encore plus : -S'il vous plait, prenez-moi, enfilez-moi, bourrez-moi… je ferai tout ce que vous voulez… tout… tout ce que vous voulez.

Elle se remit à genoux tout en suppliant et baisa les chaussures de l'homme qui restait impassible. Enfin, il parla : -A poil, et tout de suite ! Hâtivement, maladroitement tellement elle voulait faire vite, Viviane déboutonna son chemisier et l'ôta. Elle marqua un léger arrêt avant d'ôter son soutien-gorge, comme si tout à coup elle prenait conscience de l'insolite de la situation. Mais très vite, elle se trouva nue, debout devant lui, et instinctivement mit une main devant son pubis et un bras devant ses seins, bras que l'homme claqua légèrement. Elle comprit immédiatement et croisa les bras dans le dos, s'exposant complètement aux regards de l'homme. Mais il ne semblait pas satisfait : -J'ai dit à poil ! Enlève tes bijoux ! je te veux vraiment nue ! Les mains de Viviane tremblaient de plus en plus en enlevant collier, bracelet, bagues. Il les prit et les posa sur sa valise, loin d'elle. –L'alliance ! Elle pâlit –Non, je ne l'enlève jamais… ce n'est pas bien… pas ça…

Toujours calme, il vint vers elle, la courba sur son bras et recommença à la fesser. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle cède. Baissant les yeux, elle retira son alliance et la tendit, tremblante à l'homme, qui la posa avec les autres, hors d'atteinte d'elle. Viviane avait perdu toute sa superbe, elle ne s'était jamais sentie aussi nue, aussi vulnérable, incapable de résister à cet homme, à son besoin de cet homme qu'elle n'avait jamais vu quelques heures plus tôt et dont elle ne savait même pas le nom. Négligemment, il effleura la pointe d'un sein et le regarda durcir et se dresser encore plus. Viviane gémit, s'approcha de lui, essaya de se frotter à lui pendant que sa main cherchait sa queue. –Prends-moi… prends-moi…PRENDS-MOI! Son impatience, son désir la faisait hurler sans s'inquiéter de ce qu'on pouvait entendre à côté.

L'homme la souleva sans effort, la posa à terre à genoux et appuya sur ses épaules pour lui mettre la tête au sol. Viviane se laissait manipuler, complètement passive, abandonnée, sans autre volonté que celle de jouir encore. Il la regarda un moment, admira ses hanches et ses fesses qui s'épanouissaient sous une taille très fine. Les pointes de ses seins frôlaient le sol, ses seins fermes n'étaient pas déformés par la position. Elle haletait. Il se mit à genoux derrière elle, plaqua les mains sur ses fesses et les écarta. Elle comprit ce qu'il voulait et esquissa une protestation : -Pas ça… ça fait mal… je ne l'ai jamais fait… prends-moi comme tu veux…mais pas ça…

L'homme l'ignora. Tenant les fesses écartées, il regarda l'anus exposé : -Quel mignon petit trou ! Il doit être bien étroit, ton cul, il va bien me serrer… ça va être jouissif. Elle gémit.

Il sortit son sexe et le dirigea vers l'anus de Viviane, qui instinctivement contracta ses fesses. Il réagit immédiatement par une claque vigoureuse qui la fit crier. –Ouvre-toi, salope, ou… Il n'eut pas besoin de préciser sa menace, elle se détendit un peu, tremblante. Il mouilla de sa salive le bout de son sexe et le dirigea vers la petite ouverture, appuya le gland et commença à forcer l'entrée. Peu à peu, difficilement, l'énorme pieu distendait les délicates parois du rectum de Viviane. Elle hurla, tente de se dégager. Avec force, il la maintint et continua sa pénétration. Elle pleurait, criait, incapable de parler et de supplier. Il saisit un sein dans chaque main et s'y accrocha, serra. Viviane ne savait plus pour quelle douleur elle criait, ou si c'était de honte d'être ainsi traitée. Elle pleurait, criait, hurlait, émettait des paroles incohérentes. Il réussit enfin à introduire la totalité de son sexe, et commença à aller et venir, avec peine d'abord, puis moins difficilement. Viviane gémissait doucement, épuisée par ses cris. L'homme continua plusieurs minutes, et jouit enfin. En même temps, il glissa la main entre ses cuisses et enfonça deux doigts dans le vagin qu'il trouva trempé, ce qui le fit ricaner : -Tu vois, tu aimes ça… Elle tenta une protestation, interrompue par un orgasme intense.

Il se retira, nettoya sa queue et alla s'allonger sur sa couchette sans plus la regarder. Elle resta sur le sol. Elle était tombée sur le côté et ne faisait aucun effort pour se relever. Ses fesses étaient tournées du côté de l'homme, qui pouvait voir des traînées de sperme s'écouler de l'anus légèrement entr'ouvert. Quand elle eut repris un peu de forces, elle se leva et regarda l'homme qui semblait dormir. Elle s'allongea à côté de lui, se colla contre lui et chercha son sexe. Il ouvrit les yeux : -Tu n'en as pas assez ? Tu en veux encore ? Et bien, branle-toi !

Viviane poussa un gémissement de honte devant cette rebuffade, mais n'insista pas. L'homme s'était retourné, se désintéressant d'elle ostensiblement. Pleurant, se sentant méprisée, elle retourna sur sa couchette où, épuisée, elle s'endormit immédiatement.

Elle n'eut pas le temps de dormir longtemps. La lumière du jour le réveilla. L'homme était entièrement habillé et lisait. Elle se leva, consciente de sa nudité devant cet homme qu'elle ne pouvait pas considérer comme son amant, malgré tout ce qui s'était passé, et qu'elle n'arrivait plus à comprendre. Il la regarda d'un œil froid. Elle balbutia, ne sachant pas comment se comporter : -Il faut que je fasse ma toilette. –oui, bien sûr. Et alors ? –Mais… mais… pas devant vous. Il ricana : -Tiens, madame a de la pudeur. C'est nouveau, ça. Tu ne t'en souciais pas tant, tout à l'heure. Vas-y, fais ta toilette, je ne vais pas sortir pour ton caprice. Je t'ai déjà bien vue, tu ne me montreras rien de nouveau.

Cette réponse réveilla l'orgueil de Viviane, qui reprit son air hautain, semblant dire : -Je suis au dessus de ça, pour moi, c'est comme si tu n'était pas là. Elle se lava tant bien que mal dans le minuscule lavabo et commença à s'habiller. Elle passa son soutien-gorge et chercha son collant qui avait glissé sous la couchette. Elle préféra se rhabiller entièrement avant de s'accroupir pour le chercher, afin de ne pas s'exhiber devant l'homme. Quand elle l'eut entre les mains, elle s'aperçut qu'il était immettable, l'ouverture sur sa vulve s'était agrandie, et un bout de tissu pendant. L'homme la regardait avec l'air de s'amuser : -Et oui, tu devras aller cul nu… comme ça tu seras prête à te faire enfiler rapidement. Je suis sûr que tu aimes ça.

Elle le regarda, furieuse, cherchant une réponse qui remettrait à sa place ce malotru. Mais en même temps une image s'imposait malgré elle : un inconnu la troussait découvrant la bas du corps nu, la courbait en avait et la pénétrait sans un mot. Cette brève scène la fit de nouveau mouiller. L'homme s'en aperçut-il ? Il se leva et s'approcha. Elle le regardait venir tout près, comme fascinée, incapable du moindre geste. Elle dit à peine non quand il la retourna, la fit pencher en avant, leva sa jupe et s'enfonça dans son vagin. Elle jouit très vite. Il se retira et se rajusta. Elle restait haletante, tentant avec peine de reprendre un peu de dignité.

L'homme lui tendit ses bijoux : -N'oublie pas ça. Quoique, après tout, je pourrais les garder pour services rendus. Mais je n'en ai pas besoin. Il les lança sur la couchette et sembla de nouveau se désintéresser d'elle. Elle les remit, et s'aperçut que l'alliance manquait. Elle aurait bien voulu n'avoir plus rien à faire avec lui, mais il fallait bien la lui réclamer. –C'est vrai, j'oubliais, tu es mariée… vraiment, cette nuit, on n'aurait pas dit. Tiens, la voilà ! Il la lui lança. Maladroite,, elle ne la rattrapa pas et dut de nouveau s'accroupir pour la chercher. Il ne fit pas un geste pour l'aider.

Le train ralentissait, s'arrêta en gare de Nice. Elle sortit du compartiment, il la suivit. La plupart des autres voyageurs étaient dans le couloir. Il sembla à Viviane que certains la regardaient avec attention. D'habitude, elle aurait trouvé normal qu'on la regarde, ce ne pouvait être qu'avec admiration. Mais cette fois… Qu'avaient-ils entendu ? La porte sur le quai s'ouvrait, la file des voyageurs s'ébranlait. Elle se retourna un instant. L'homme regardait ailleurs. Sortant du wagon, elle vit son mari qui courait vers elle.

PREMIER ADULTERE

Pour une fois, Viviane se rendrait seule au dîner de gala de la Fondation d'Aide aux Jeunes Artistes. Son mari était en voyage d'affaires, et avait insisté pour qu'elle y aille quand même. Les invités étaient répartis un peu au hasard par tables de six où alternaient les femmes et les hommes. Viviane était entre un industriel assez âgé à sa droite et un avocat d'une quarantaine d'années à sa gauche. Tous deux, très mondains, avaient exprimé leur plaisir d'être à côté d'une aussi jolie femme. La conversation avait mis du temps à s'installer, mais les hors d'œuvre n'étaient pas terminés que tous discutaient avec animation.

Tout à coup, Viviane sentit une main se poser sur son genou gauche. Ce ne pouvait être que celle de l'avocat. Elle se tourna vers lui pour lui jeter un regard indigné, mais il parlait avec enthousiasme d'une exposition qu'il venait de visiter, et elle renonça à l'interrompre. Elle serra les genoux, mais, fermement la main les écarta. Viviane n'osa pas mettre la main sous la table pour repousser cette main indiscrète, qui commençait à se glisser sous la jupe et remontait tout le long de la cuisse, sans se presser, mais sans hésitation, sûre d'elle. Viviane regretta d'avoir mis des bas tenant seuls au lieu de collant qui l'aurait mieux protégée. Justement, la main arrivait à la peau nue qu'elle caressa légèrement, semblant en apprécier la douceur. Elle s'arrêta entre les cuisses, la où la peau est la plus douce, et reprit son mouvement. Viviane hésitait. Allait-elle faire scandale ? Ça ne se fait pas, dans ce monde. Elle se décida à mettre la main sous la table et, à travers la jupe, tenta de déplacer la main. Inutilement, elle résistait efficacement à sa pression. L'avocat continuait à discuter. La main atteignait le haut de la cuisse et un doigt frôlait le sexe de Viviane à travers la dentelle de la culotte. Elle avait de la peine à suivre la conversation et encore plus à y participer. Tout en essayant de faire bonne figure, toute son attention, toute sa sensibilité étaient concentrées sur ce point si sensible entre ses cuisses et cette main dont elle était incapable de se débarrasser. Et d'ailleurs le voulait-elle vraiment ?

La main continuait sa progression avec assurance. Le doigt s'insinua tranquillement à l'intérieur de la culotte et- effleura le clitoris. Viviane faillit crier, se reprit à temps et se mordit les lèvres. Ce qui se passait autour d'elle restait dans un brouillard qui recouvrait les visages et étouffait les paroles. D'un coup, le doigt s'enfonça dans le vagin sans rencontrer de résistance: il était trempé. L'homme se pencha vers Viviane et lui dit à mi-voix : -Donnez-moi votre culotte, d'une voix calme, sûre d'elle. Elle le regarda, suppliante, mais il regardait en face de lui et discutait comme avant. Elle fut tentée par une protestation vigoureuse. Mais avoir tous les regards concentrés sur elle ? Ne serait-elle pas ridicule ? Et puis… voulait-elle vraiment que cette main se retire ? Toute sa raison lui disait qu'il le fallait, mais son vagin aspirait le doigt, malgré elle, elle poussait son ventre vers lui. Comme somnambule, elle mit les deux mains sous sa jupe et très vite baissa sa culotte et la mit dans la main qui s'en empara, se retira et très vite revint. Elle n'osait pas regarder cet homme qui arrivait à obtenir tellement d'elle.

Il se pencha de nouveau vers elle : -Relevez votre jupe et asseyez-vous directement sur vos fesses nues. Toujours le même ton d'évidence, qui n'envisageait même pas qu'on puisse lui désobéir. D'ailleurs Viviane pensait plus à résister. Rouge de honte, elle attendait l'ordre suivant. .

Le repas se terminait, on commençait à servir le café. Le doigt, qui était retourné dans le vagin de Viviane, s'agitait un peu plus, et un autre doigt effleurait le clitoris. Maintenant, l'homme la regardait avec un petit sourire. Tout à coup, elle sentit l'orgasme monter. Elle tenta de résister, de penser à son mari, elle se mordit les lèvres. Sans effet. La jouissance la saisit. Elle réussit à s'empêcher de crier, mais savait bien qu'on devait remarquer quelque chose. L'industriel à sa droite lui demanda, soucieux : -Ça va ? vous n'êtes pas bien ? Elle réussit à balbutier : -Ce n'est rien, un étourdissement, c'est fini. Mais en face d'elle une femme la regardait fixement. Elle avait probablement compris. Viviane rougit encore plus, baissa les yeux, ne voulant plus rien savoir de son entourage.

On commençait à se lever, les conversations se terminaient, certains proposaient d'aller terminer la soirée ailleurs. Viviane déclina toutes les offres. Elle voulait se retrouver seule, comprendre. C'était la première fois qu'un homme autre que son mari la faisait jouir et, elle devait le reconnaître, avec une force qu'elle avait rarement connue. Elle se dirigea vers le vestiaire, prit son manteau et se dirigeait vers la sortie quand on lui prit le bras. Elle se retourna : c'était l'avocat, qui, sans un mot, l'entraîna vers le parking, loin de sa voiture à elle. Elle se trouva de nouveau incapable de lui résister et le suivit dans une zone un peu à l'écart du parking. Une Safrane était isolée. Il mena Viviane vers elle et la poussa sur le capot. C'en était trop, elle résista : -Non… ça suffit comme ça !

Il ignora sa protestation et appuya sur sa nuque pour la courber sur le capot. Elle continuait à résister, et à protester de plus en plus fort. D'un geste brusque, il releva le bas de la robe, découvrant ses fesses nues. Avec force, il appliqua une première claque, suivie très vite de plusieurs autres. Viviane continuait à dire Non…Non, mais ne résistait plus. Il la plaqua sur le capot, la maintenant d'une main entre les épaules, et ouvrit sa braguette et sortit son sexe dressé. Il n'eut aucune peine à s'enfoncer dans ce vagin qui, malgré tout, l'attendait. Les deux jouirent ensemble, vite, comme impatients. Il se retira, rabattit la robe, et la fit se redresser. Toujours sans un mot, il lui tendit une carte de visite et entra dans sa voiture qui démarra, la laissant seule dans le parking. Tremblante, elle chercha sa voiture. Elle déchira la carte en petits morceaux et les dispersa par terre, les piétinant rageusement. Elle partit en pleurant, perdue. Pour la première fois, Viviane avait trompé son mari.

Les jours suivants furent difficiles. Viviane avait des remords, elle s'en voulait d'avoir su peu résisté. Mais, par moments, le souvenir de ses jouissances l'ébranlait, elle mettait la main entre ses cuisses comme elle l'avait fait jeune fille, toujours avec honte et mauvaise conscience. Et son mari qui ne reviendrait que dans deux semaines… Ce délai la terrifiait.

Une semaine plus tard, son amie Muriel lui proposa de dîner ensemble. Elles se connaissaient depuis longtemps et Muriel, un peu plus âgée, avait souvent servi de confidente et de conseil à Viviane. Elles se voyaient moins depuis son mariage, et elle accepta volontiers cette soirée qui la sortirait de sa solitude.

Elles avaient agréablement bavardé, quand Muriel lui demanda comment s'était passé le dîner de la Fondation. Viviane rougit : -Bien… très bien…. Et elle commença à parler d'autre chose. Muriel comprit vite qua Viviane avait quelque chose à cacher et insista : -Ne détourne pas la conversation. Il s'est passé quelque chose, et tu vas me le dire.

La rougeur des joues de Viviane était un aveu suffisant, et Muriel était curieuse. –Allons, parle ! ou est-ce qu'il faudra te fesser pour que tu t'y décides ? Au mot « fesser », Viviane se revit sur la capot de la voiture de l'avocat, les fesses nues et brûlantes… et la suite à laquelle elle ne voulait pas penser. Elle rougit encore plus, leva vers son amie un regard suppliant. Mais Muriel ne se laissa pas attendrir. Elle se leva et s'approcha d'un air décidé et menaçant. Viviane céda : -Non… ne me fesse pas… non… je vais tout te dire.

Muriel se rassit, gardant son visage sévère : -Dis-moi vraiment tout, sinon…

Viviane commença par parler de ses voisins, des conversations, retardant le moment où elle devrait parler de cette main si sûre d'elle. Muriel ne se laissa pas détourner : -Tout ça, c'est du bavardage, ce n'est pas ça qui te fait tellement rougir. Alors, avoue… avoue tout !

-Tout à coup, j'ai senti une main… sur mon genou, sur ma cuisse… Elle continua son récit, essayant d'éviter ce qui la gênait le plus, reconnaître sa propre excitation. Muriel fut impitoyable, satisfaite seulement quand Viviane, toute en larmes de honte, dut lui dire que, oui, elle mouillait, oui elle avait joui sous ce doigt.

Peu à peu, avec encore plus de peine, Muriel lui fit raconter ce qui s'était dans le parking. Elle chercha d'abord à cacher qu'elle avait été fessée, mais Muriel sentit qu'il manquait quelque chose à son récit et dut la menacer à nouveau d'une fessée pour qu'elle en parle. A la fin, Viviane pleurait –Pourquoi tu me fais dire tout ça ? J'ai si honte de m'être laissée aller…

Muriel sourit : - C'était une expérience qui te manquait. Tu es trop sage, tu regardes trop les hommes de haut. Et maintenant, que vas-tu faire ?

-Comment, qu'est-ce que je vais faire ? Rien, bien sûr. Quoi d'autre ?

-Non, pas question ! Tu vas revoir cet homme !

–Le revoir ? tu es folle ! et mon mari ?

-Ton mari est très loin, et ce n'est pas lui qui va te faire jouir avant longtemps.

-Mais cet homme ne me plaît pas… et d'ailleurs je ne connais même pas son nom.

Muriel sourit : -C'est maître André Fauve. Je le sais, c'est le seul avocat à la Fondation. Tu vas l'appeler demain matin, tu demanderas à lui parler personnellement, tu te présenteras et lui diras que tu veux le revoir.

-Jamais ! M'humilier ainsi ? Pas question !

-Lève-toi !

-Pourquoi ? qu'est-ce que tu veux ?

-Je t'ai dit de te lever ! Obéis sans discuter !

Le ton autoritaire de Muriel, à qui elle avait déjà tant cédé ce soir, affaiblit les défenses de Viviane et sa volonté. Tête basse, elle se leva ; Muriel lui fit signe d'approcher, lui prit le poignet et la fit basculer en travers de ses genoux. Viviane tenta de se débattre. –Qu'est-ce que tu fais ? qu'est-ce que tu veux ? Aïe… aïe… arrête…tu es folle…

Muriel avait commencé à la fesser, sur sa jupe d'abord, puis l'avait troussée et frappait sur la fine culotte. –Tu vas m'obéir ? Tiens, prends ça ! Et ça encore… Demain je vérifierai si tu as bien téléphoné, et sinon, gare à tes fesses !

Les coups avaient complètement aboli la volonté de Viviane -Oui, Muriel, oui, j'appellerai… promis… arrête…

Muriel s'arrêta à regret. Elle avait pris un grand plaisir à fesser son amie et à la sentir céder, s'abandonner. Elle se promit qu'à la première occasion…

Viviane restait debout, tête basse, très rouge, le visage couvert de larmes, se frottant les fesses. –Allons, assieds-toi et arrête de te frotter les fesses comme une gamine, tu es ridicule.

Viviane poussa un petit cri de protestation, mais se rassit, obéissante.

-Tu l'appelleras demain ? –Oui, Muriel. -… tu iras à son rendez-vous ? –Oui, Muriel.

-Et tu lui diras que tu veux qu'il te baise de nouveau ?

–Muriel, voyons, je ne pourrai jamais…

-C'est pourtant ce que tu veux ?

-Je ne sais pas… laisse-moi…

-Assez discuté. Tu iras, et n'oublie pas que j'aurai les moyens de vérifier.

Cette nuit, Viviane dormit très mal. Elle était choquée de la façon dont son amie l'avait traitée, mais elle était excitée, ses mains retournèrent entre ses cuisses et elle jouit en se revoyant fessée.

Le lendemain, elle se réveilla en se disant qu'elle avait été stupide de céder ainsi. Muriel s'était conduite de manière inadmissible avec elle, et une promesse extorquée dans ces conditions n'avait aucune valeur. Mais, à mesure que la matinée avançait, sa résolution faiblissait. Après tout, pourquoi pas ? Le souvenir des deux orgasmes que cet homme avait provoqués était vivant dans son esprit et devenait parfois une obsession. Elle allait le revoir, ne serait-ce que pour le démystifier et s'en débarrasser. Elle appela donc. Comme prévu, elle tomba sur la secrétaire et dut donner son nom et insister que c'était bien personnel. Enfin, elle entendit sa voix : -Bonjour. Que voulez-vous ? Toujours le même ton froid et autoritaire. Lui parlerait-il un jour autrement, comme les hommes avaient coutume de s'adresser à elle ? Elle balbutia :

-Un… un rendez-vous. –Demain, 18 heures. Et il raccrocha.

L'après-midi et la journée du lendemain furent horribles pour Viviane. Tantôt elle se disait qu'elle était folle, à d'autres moments son ventre brûlait à l'idée de ce qui pourrait se passer. Enfin la soir arriva. Viviane hésita sur sa tenue, et opta finalement pour son tailleur le plus sérieux. Elle ne voulait pas avoir l'air de se jeter à sa tête. Donc un tailleur gris, un collant gris aussi, un chemisier blanc boutonné jusqu'au cou, des dessous sages. Elle se regarda dans le miroir de sa chambre : Comme elle le souhaitait, elle était élégante comme toujours, sans rien de provoquant. Elle se dit qu'elle faisait plutôt femme d'affaire, et espéra qu'il en serait impressionné. Un discret collier de perles, une bague pour faire pendant à son alliance complétèrent une tenue qui, pensait-elle, inspirerait le respect.

Enfin l'heure arriva, elle sonna, le coeur battant, mais cherchant à ne montrer qu'un visage parfaitement calme. C'est une jeune femme qui ouvrit, probablement une secrétaire.

-Vous désirez ?

-J'ai rendez-vous avec Maître Fauve.

Sa voix trembla. Ces deux mots la troublaient. Le mot Maître, d'abord. Devait-elle considérer cet homme comme son maître ? C'est ainsi qu'il s'était conduit au dîner, et elle l'avait accepté. Mais maintenant ? Et puis Fauve ? Elle le ressentait bien comme un fauve prêt à se jeter sur elle. Son ventre se tordit à cette idée, et elle entendit à peine la secrétaire lui disant de la suivre. Elle entra dans le bureau, dont la secrétaire ferma la porte en partant. L'homme la regardait froidement. Sans lui dire de s'asseoir, il demanda : -Que voulez-vous ?

Elle fut désarçonnée par cette entrée brutale en matière. Il ne faisait rien pour lui faciliter ce qu'elle avait à faire.

-…je… je…

-Parlez, vous me faites perdre mon temps.

Elle ouvrit la bouche, la referma, incapable de parler, glacée par cet accueil. Il se leva, avançant lentement vers elle, sans cesser de la regarder

-Vous vous décidez, ou faudra-t-il vous contraindre ?

Viviane continuait à le regarder s'approcher, incapable de réagir. Il était maintenant tout près d'elle. –Non ? Vous ne voulez rien dire ? Soit !

Avec force, il la retourna malgré sa résistance, et appliqua une claque retentissante sur les fesses à travers la jupe. Viviane poussa un cri et essaya de se dégager, mais son autre main la tenait fermement. Il continua un moment, ignorant ses cris. Il avait pris ses deux poignets dans une main et continuait la fessée de l'autre.

Viviane pleurait, suppliait qu'il arrête : -Je vais vous dire…arrêtez, ça fait mal.

Il continua un moment, puis la redressa et la tourna face à lui :

-Qu'est-ce que vous avez à me dire ? Parlez !

Elle était toute rouge, baissait la tête pour éviter les yeux de l'homme.

-Au dîner, l'autre jour… vous avez…

-Oui, je sais très bien ce que j'ai fait. Et alors ?

Tout en parlant, il l'avait de nouveau retournée mais cette fois il l'avait courbée sur le bureau et troussée.

-Non… que faites-vous ?

-Vous êtes venue vous faire de nouveau enfiler, comme au dîner ? Dites-le !

Une série de claques s'abattirent sur les fesses qui n'étaient plus protégées que par un fin collant un une culotte encore plus fine.

-Oui… oui… arrêtez…

Nouvelles claques, le collant baissé aux genoux.

-Oui quoi ? Soyez claire, Madame.

-Oh ! ne soyez pas méchant. Vous savez très bien pourquoi je suis venue.

Il baissa la culotte et d'un geste brusque la déchira et le collant aussi. Il rit :

-Tu n'en auras plus besoin.

Quelques claques directement sur les fesses maintenant nues :

-Dis-le que tu es venue te faire baiser !

-Oui…oui… baisez-moi

Elle avait à peine fini qu'elle sentit que son sexe était envahi. Il n'eut pas à attendre longtemps. Après quelques allées et venues dans ce vagin trempé, elle hurla son plaisir.

Il se retira, elle resta immobile, reprenant son souffle, et se redressant enfin se colla à celui qui l'avait fait jouir, attendant un geste et une parole de tendresse. Mais il la repoussa, montrant la culotte et le collant déchirés : -Ôte ça, tu es ridicule.

Essayant de retrouver un peu de dignité, elle retira lentement ses chaussures puis ce qui restait de ces deux vêtements qui l'avaient si peu protégée, et les remit, lissa sa jupe et se tint debout devant lui, le regardant de haut, comme elle le faisait habituellement avec tous les hommes. Il ne sembla pas impressionné et lui dit simplement : -Ta jupe !

Elle le regarda, ne comprenant pas. Il répéta : -Ta jupe, je ne veux plus la voir. Donne la moi ! Elle balbutia –Mais… mais… je ne peux pas… non…

Il la gifla : -Tu ne me dis plus jamais non ! Apprends à obéir.

En larmes, la joue en feu, elle la dégrafa et la fit tomber, l'enjamba et la ramassa, la lui tendit, la tête baissée, honteuse de sa docilité, et plus encore d'être demi-nue sous son regard froid.

Il prit la jupe, les lambeaux de la culotte et du collant et les jeta dans une poubelle. Viviane le regardait, fascinée, ayant renoncé à toute volonté. Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle ne pourrait rien lui refuser.

Il mit la main entre ses cuisses et enfonça deux doigts dans son vagin, et ricana en constatant que l'humidité n'avait pas diminué. Elle commença à s'agiter sur ces doigts, cherchant à jouir de nouveau. Mais il les retira d'un coup, riant encore plus quand elle poussa un cri de frustration. –C'est moi qui décide si et quand tu vas jouir, pas toi.

Elle s'approcha de nouveau de lui, tentant de le séduire, de l'exciter, frottant son ventre nu contre le sexe de l'homme à travers le pantalon. Il resta froid, elle pleurait de désir et de frustration.

-Nous partons ! -Nous partons ? Où ? Pas de réponse. Il se dirigea vers la porte.

-Mais… je ne peux pas sortir comme ça…

-Et bien, on verra tes fesses rouges et on saura que tu as été vilaine et qu'il a fallu te fesser comme une gamine.

Elle rougit, troublée et honteuse à l'évocation de ce qu'elle avait subi. Il sortait, elle se colla contre lui, comme si elle serait cachée par lui. Il marchait à grands pas, ne semblant pas s'occuper d'elle. Ils prirent l'ascenseur sans rencontrer personne, arrivèrent au parking. Le souvenir de ce qui s'était passé dans un autre parking, avec le même homme, la fit frissonner. Un couple les croisa, les regarda sans rien dire. La femme se retourna pour les regarder encore. Ils arrivèrent à la voiture, mais cette fois il se contenta de lui ouvrir la portière, poliment, comme si elle était habillée normalement et ne venait pas d' »être fessée et baisée par lui.

Elle s'assit, il prit place à côté d'elle et avant de démarrer, lui écarta les genoux qu'elle avait pudiquement serrés. Elle rougit, mais ne tenta pas de les refermer. Toutefois, quand la voiture arriva près d'un camion, il ralentit pour rester à la même vitesse que lui, et elle vit le chauffeur qui la regardait. Sans réfléchir, elle resserra les cuisses, ce qui lui valut une claque immédiate laissant sur sa cuisse une marque bien nette. Le camionneur sourit et fit un signe d'approbation. Viviane pleurait de honte, elle s'en voulait d'être incapable de s'opposer à ces humiliations. Lui gardait son visage froid, ne la regardant apparemment pas.

Arrivés chez lui, il reprit son comportement poli et attentionné, lui tenant les portes, la faisant passer devant lui. Il la fit entrer au salon et asseoir dans un fauteuil, où il lui écarta de nouveau les cuisses. Il redevint mondain en lui demandant ce qu'elle voulait boire, mais quand elle lui demanda de l'eau, il hocha la tête et lui servit un cognac. Et garda les yeux sur elle jusqu'à ce qu'elle ait tout bu. Ça n'allait certainement pas lui tourner la tête, mais elle sentit qu'une fois de plus il lui imposait sa volonté sans qu'elle puisse lui résister.

Il resta longtemps assis en face d'elle, le regard fixé sur sa vulve qu'elle ressentait comme une brûlure. Elle avait besoin qu'il la prenne, qu'il la pénètre, qu'il prenne possession de tout son corps, qu'il la brutalise s'il le voulait, pourvu qu'elle sente ses mains sur son corps. Enfin, il parla, du même ton froid avec lequel il s'était toujours adressé à elle :

-Ouvre ta veste !

Elle s'empressa d'obéir, comme à ses ordres suivants. Il lui dictait ses moindres gestes, comme si elle ne savait pas se déshabiller elle-même. Quand elle fut nue, il lui fit signe d'approcher, mais tout de suite précisa : -A genoux ! Viviane rougit et s'exécuta. Il recula un peu le fauteuil dans lequel il était assis pour allonger la distance. Elle arriva tout près de lui, resta à genoux et le regarda d'un air suppliant.

Il sourit : -Tu es vraiment à ta place là. Tu ne trouves pas ? Viviane rougit et ne dit rien, incapable de parler.

-Je t'ai posé une question. Réponds ! Ou faudra-t-il de nouveau te fesser ?

Une fois de plus, le mot « fesser » la fit frémir, elle ne savait pas si c'était de crainte, de honte ou de désir. Il lui était impossible d'y résister. Elle balbutia :

-Oui, ma place est à genoux devant vous.

Il sourit, lui caressa les cheveux comme à un chien qui a bien rapporté.

-Caresse-toi !

Docile, elle mit la main entre ses cuisses, qu'il écarta une fois de plus. Elle esquissa une caresse, se reprit, chercha son clitoris… et tout à coup fondit en larmes :

-Je ne peux pas… pas devant vous… s'il vous plait… pas ça… je ne peux pas.

Il saisit ses cheveux, la souleva, frappa trois fois ses seins et la laissa retomber sans un mot. Pleurant encore plus, Viviane remit la main entre ses cuisses. Rouge de honte, d'embarras, elle finit par obéir et faire sous son regard ce qu'elle n'avait jamais fait que seule, bien cachée sous ses draps. Elle finit par jouir sous les yeux de l'homme.

IL la retourna, toujours à genoux, pressa sur sa nuque pour lui mettre la tête au sol. Il la manipulait comme une poupée, souleva un peu le bassin pour mieux exposer la croupe, appuya sur ses reins pour la faire cambrer, écarta ses jambes. Une fois de plus, Viviane se laissait faire, totalement abandonnée entre les mains de cet homme. Quand il l'eut bien disposée à son goût, il la pénétra d'un coup, et elle jouit très vite. Il se retira, se rajusta et sembla se désintéresser d'elle. Elle restait par terre, haletante.

-Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, rentre !

C'était comme s'il l'avait giflée, une fois de plus il l'humiliait, lui rappelait que c'était elle qui avait besoin de lui. Elle remit ses chaussures, son soutien gorge, son chemisier et sa veste sous le regard distrait de cet homme qui venait de jouir en elle mais semblait maintenant s'en désintéresser.

-Je ne peux pas rentrer comme ça, et j'ai laissé mon sac dans votre bureau. Il s'absenta un instant et revint avec un vieux manteau d'homme, qu'elle s'empressa de mettre. Il lui tendit un billet de 20€ -Ça suffira pour le taxi. Ton sac, tu peux venir le chercher à l'étude, tu le demanderas à ma secrétaire. Si un jour j'en ai envie, je t'appellerai.

TROUBLES DE CONSCIENCE

Les jours suivants furent horribles. Pour commencer, il lui avait fallu aller dès le lendemain reprendre son sac à l'étude. Devant l'air froid de la secrétaire, elle avait rougi et balbutié : -Je… j'ai oublié mon sac. La secrétaire le lui donna immédiatement, avec la jupe qu'elle n'avait pas osé réclamer. Viviane rougit encore plus, saisit les deux objets et s'enfuit. Bien sûr, la secrétaire ne pouvait avoir aucun doute sur ses relations avec son patron, qui avait délibérément, Viviane en était sûre, fait en sorte de l'humilier en joignant la jupe au sac. Elle se jura qu'elle ne le reverrait jamais.

Une fois seule, Viviane fut confrontée à la réalité de sa situation : pour la première fois, elle avait trompé son mari, si gentil, si prévenant, si confiant… Elle était torturée par le remords, et en même temps ne pouvait s'empêcher d'être troublée en se souvenant de cette soirée. Elle détestait cet homme trop sûr de lui, autoritaire et brutal, pourtant son sexe se réveillait dès qu'elle pensait à lui. Et son mari n'était pas là, lui qui aurait pu la satisfaire et lui faire oublier ce faux-pas…Après quatre jours, elle se décida à appeler son amie Muriel, sans trop savoir ce qu'elle en espérait. Elles résolurent de se voir le soir même.

-Alors, comment c'était, avec ton amant ?

Viviane hurla : -Ce n'est pas mon amant !

Muriel rit : -C'est quoi, alors ?

-Je… je sais pas… un moment de faiblesse sans importance, c'est tout. D'ailleurs ça n'a pas été loin, et maintenant c'est fini.

-Et c'est pour ça que tu es venue m'en parler ?

Viviane rougit : -Mais non, je voulais seulement te voir, bavarder…

-Viviane, ne me mens pas ! Tu sais que je ne l'accepte pas, et que je n'hésiterai pas à te punir si tu oses ma cacher quelque chose. Tes fesses doivent s'en souvenir… Tu ne dis rien ? Soit, tu l'auras voulu ! DEBOUT !

Malgré son air hautain et sûr d'elle, Viviane était (et est toujours) incapable de résister à une autorité un peu ferme. Muriel la vit avec délectation se lever, encore plus rouge, si c'était possible. Elle lui fit signe de venir s'allonger en travers de ses genoux. Viviane obéit, comme dans un état second. Le ton de son amie et le souvenir de la fessée qu'elle lui avait infligée quelques jours plus tôt la troublaient. Une fois de plus, elle obéissait, et se détestait d'obéir.

Elle s'allongea comme Muriel le lui ordonnait. Elle avait envie de protester, mais ça ne donna que des non… non… presque inaudibles. De toutes façons, Muriel était bien décidée à mener la correction jusqu'au bout. Avec des gestes décidés et précis, elle troussa Viviane, découvrant un fin collant gris à travers lequel on distinguait une petite culotte de dentelle. Rapidement, le collant se retrouva aux genoux, suivi de la culotte blanche. Les fesses de Viviane étaient maintenant exposées aux yeux de son amie, et bientôt à ses mains. Les timides protestations continuaient : -Non, Muriel… je t'en prie, pas ça… pas la culotte… non…pas la fessée… non…

Évidemment, Muriel n'en tint aucun compte, et dès que les fesses furent nues, elle commença. Quelques claques modérées d'abord, puis de plus en plus fortes. Très vite, Viviane se mir à crier, puis à pleurer. –Muriel, je t'en supplie, arrête… je vais tout te dire… arrête…

Muriel ajouta quelques claques, et s'arrêta, sans toutefois la laisser se relever.

-Alors ? J'attends… Qu'est-ce qui s'est passé avec ton amant ?

Viviane pleurait de douleur, de rage, de honte, et avait de la peine à parler.

-Et bien, je suis allée chez lui…

Peu à peu, elle raconta tout : Comment il l'avait fessée pour lui faire dire pourquoi elle était venue, comment il l'avait prise demi-nue, le trajet en voiture, comment il l'avait obligée à se caresser et à jouir sous ses yeux, enfin le retour sous un vieux manteau…

Muriel la maintenait à plat ventre sur ses genoux, l'obligeant à donner les détails les plus intimes et le fessant chaque fois qu'elle estimait qu'elle n'était pas suffisamment sincère ou pas suffisamment précise. Peu à peu, était-ce l'évocation de ces évènements ou la honte d'en parler dans cette position humiliante, Viviane commença à être excitée. Elle n'avait jamais été attirée par les femmes, mais maintenant, sentant le corps de Muriel et sa chaleur si proche, c'est d'elle que, confusément, elle attendait la satisfaction dont elle avait besoin. Toutefois, on lui avait toujours dit, dans sa famille, qu'être attirée par une femme était un vice condamnable. Bien sûr, elle se considérait comme émancipée de ces interdits d'un autre âge, mais il lui en restait quelque chose, l'idée vague que ce n'est pas bien.

Muriel n'avait pas de ces scrupules. Bien que préférant nettement les hommes, elle ne dédaignait pas un beau corps de femme, quand l'occasion se présentait. Et c'était justement le cas à ce moment : sentir tout contre elle le corps de Viviane abandonné, après le plaisir certain qu'elle avait pris à la fesser la décida. D'un geste rapide, elle mit la main entre les cuisses de Viviane, chercha le clitoris, l'effleura puis le caressa franchement, provoquant d'abord un raidissement et un Non incertain, puis l'abandon complet. Elle continua un peu, puis prit la tête de son amie, elle l'introduisit sous sa jupe.

-Écarte ma culotte et suce-moi !

Elle avait pris son ton le plus autoritaire, et constata vite que Viviane obéissait et plaquait sa bouche contre ce sexe qu'elle n'avait jamais vu. Elle jouit très vite en serrant la tête de Viviane entre ses cuisses, puis s'attacha à lui rendre la pareille.

Une demi-heure plus tard, elles étaient toutes les deux nues. Viviane se serrait contre son amie. Mais bientôt, maintenant qu'elle était satisfaite, ses scrupules revenaient, et tout à coup elle s'éloigna et chercha de quoi se couvrir. Muriel réagit tout de suite : -Reste ici !, reprenant son ton autoritaire. Viviane se mit à pleurer. –Que va dire mon mari ?

Muriel rit : -Ce qu'il ne sait pas ne lui fera aucun mal. Et puis avec moi, ce n'est pas comme avec ton avocat.

Ce rappel redoubla les larmes de Viviane. –Tu crois que je suis vraiment une perverse ? Qu'est-ce que je vais devenir ?

Elles parlèrent longtemps, sans que Muriel réussisse à atténuer le sentiment de culpabilité de Viviane. Mais il n'est pas sûr qu'elle l'ait vraiment voulu : elle trouvait les larmes de son amie très excitantes, au point que trois fois, au milieu de la conversation, elle exigea de nouveau que son amie la satisfasse. Viviane le faisait après des protestations dont Muriel ne tenait pas compte mais, son amie l'obligerait à le reconnaître, cela l'excitait, ce dont témoignait l'humidité de son vagin que des doigts indiscrets venaient régulièrement constater.

*****

Viviane rentra encore plus troublée, partagée entre sa mauvaise conscience et le besoin de jouir de nouveau. Enfin, son mari rentra, toujours aussi amoureux, elle ne lui dit rien de ce qu'elle considérait comme des fautes graves, puis comme des fautes moins graves, et peu à peu n'y pensa plus trop souvent.

Un matin, son mari était rentré depuis près de deux mois, le téléphone sonna : -Ici la secrétaire de Maître Fauve. Il vous attend aujourd'hui à 17h, et elle raccrocha sans attendre la réponse.

Évidemment, la première réaction de Viviane fut l'indignation. Cet homme se permettait de la convoquer ainsi sans s'inquiéter de son accord ou même de sa disponibilité, comme une putain. Et il ne l'appelait même pas lui-même ! La secrétaire, celle qui lui avait rendu sa jupe, ne pouvait avoir aucun doute sur leurs relations, ce qui rendait cette sommation encore plus humiliante. Et bien, elle n'irait pas, elle n'était pas à ses ordres ! Son mari était là, elle n'avait aucune raison de recommencer ce qui ne pouvait se justifier que par la frustration. C'était décidé, elle n'irait pas, il pourrait l'attendre autant qu'il le voudrait…

A 17h, elle sonnait à la porte de l'étude. Elle s'était dit qu'elle allait dire son fait à ce malappris prétentieux, puis partirait avec dignité.

A 17h. 30, elle était courbée sur le bureau, la jupe largement relevée, la culotte par terre, et le sexe de l'avocat allant et venant avec vigueur dans son vagin.

Tout à coup, un téléphone sonna. Sans cesser son va et vient, l'homme se pencha, fouilla le sac de Viviane, en sortit son portable et le lui tendit. -Réponds ! Elle regarda l'écran : -Mais… c'est mon mari. Elle essaya de se dégager, mais il la tenait fermement. - Réponds-lui !

Viviane n'osa pas désobéir, mais chercha à écourter la conversation. Son mari lui disait qu'il avait un moment, et qu'il avait eu envie d'entendre la voix de sa femme, comme il le faisait parfois, en époux amoureux. Il lui demanda ce qu'elle faisait. Elle bredouilla qu'elle était avec une amie et qu'elle l'entendait très mal. L'homme avait accéléré son rythme, et elle était terrifiée par ses sensations et par la jouissance qui montait. A son soulagement, la peur coupa net son excitation, mais elle ne put émettre que quelques paroles confuses. L'homme se pencha vers son oreille : -Allons, sois plus gentille avec ton mari, ou je te fesse !

En même temps, il avait mis une main entre ses cuisses et cherchait le clitoris, qu'il caressa ; il savait qu'elle y était particulièrement sensible, et n'eut pas de peine à l'amener tout près de l'orgasme. Au téléphone, elle devenait de plus en plus incompréhensible, au point que son mari s'inquiéta, lui demandant si elle n'était pas malade. Elle dit hâtivement que non, tout allait bien, et coupa la communication.

Honteuse, elle tenta d'échapper à son étreinte. –Je veux partir, c'est affreux ce que vous me faites faire. Sans répondre, il accéléra encore plus son rythme, et la caresse du clitoris devint plus précise. Affolée par la jouissance qui montait et sa honte de ce qu'il l'avait obligée à faire, elle trouva la force de repousser la main qui savait trop bien la caresser et réussit à se redresser. Rapidement, il la plaqua de nouveau sur le bureau et claqua vigoureusement une fesse. –Tu restes ainsi sans discuter, compris ? Il appliqua une nouvelle claque.

Prise entre sa mauvaise conscience, son désir de jouissance, sa honte, la peur de la fessée, et l'excitation que provoquait chez elle toute autorité un peu décidée, Viviane se soumit : -Ne… ne me faites pas mal… je serai sage. Dans son affolement, elle retrouvait un langage de petite fille qu'on va punir.

L'homme sourit, lui donna une nouvelle claque qui résonna, accéléra son rythme, et très vite elle hurla dans l'orgasme.

Il se retira, redressa Viviane et la retourna, poussant sa tête vers son sexe encore à moitié dressé. –Nettoie-moi avec ta bouche et file. Il ne faut pas faire attendre ton mari.


LECON DE MUSIQUE

 

La famille de Viviane était très attachée à ses traditions, et l'une d'elles voulait que les jeunes filles apprennent à jouer d'un instrument de musique. Sa mère l'avait fait, et bien qu'il y ait des années qu'elle n'avait pas touché un piano, elle insistait que ce complément d'éducation était nécessaire pour sa fille. Celle-ci n'y tenait pas, mais puisqu'il fallait y passer… Pendant des années elle était allée une fois par semaine chez une vieille demoiselle très gentille, et pas trop exigeante. Viviane avait 16 ans quand la brave dame décida qu'il était temps, à 72 ans, de prendre sa retraite et de s'installer à la compagne.

Viviane espérait que ce serait l'occasion d'arrêter, mais ses parents, en fait surtout sa mère, ne cédèrent pas. Après quelques conciliabules avec des amies et des cousines, elle fit son choix : un homme, cette fois, qui avait la réputation d'être très exigeant et d'obtenir d'excellents résultats. Viviane essaya bien de discuter, mais devant la détermination maternelle elle céda, se réservant d'être ferme sur d'autres points, beaucoup plus importants, comme de pouvoir sortir avec son amie Muriel et en même temps, mais ça elle ne le disait pas, avec son copain Antoine. Et un prof homme, ça lui convenait, elle le mettrait dans sa poche, comme tous les autres. Viviane était une séductrice précoce.

Elle s'attendait à un équivalent masculin de la vieille demoiselle. Elle se trompait. Son nouveau professeur semblait avoir à peine dépassé la quarantaine, était très élégant, et il l'accueillit avec une politesse froide, ne semblant pas remarquer le sourire séducteur de sa nouvelle élève. Il lui fit raconter ce qu'elle était supposée avoir appris, et lui dit de jouer un des morceaux qu'elle avait mentionnés. D'un air nonchalant, Viviane s'installa au piano et commença à jouer. Le professeur l'écoutait avec attention, marquant la mesure avec une baguette. Quand elle eut terminé, elle le regarda, l'air satisfait, mais lui gardait un air mécontent.

-Vous pensez avoir bien joué ?

-Euh… j'ai peut-être fait quelques fausses notes…

-Quelques fausses notes ? Vous avez massacré ce morceau ! Essayons en un autre, et prenez garde. Sinon… Il fit un grand geste avec sa baguette, qui siffla.

Viviane se remit au travail, furieuse : jamais la vieille demoiselle ne lui avait parlé comme ça. Elle ne voulait pas le reconnaître, mais elle était impressionnée par l'autorité de son nouveau professeur. Elle se donna de la peine, trop peut-être, et très vite ses doigts s'emmêlèrent, et elle fut obligée d'arrêter. Elle n'osait pas le regarder, et suggéra d'une voix incertaine : -Je vais recommencer…

-Inutile, vous ne faites aucun effort. Il faut changer de méthode. Levez-vous !

Étonnée, Viviane se leva et se tint debout, ne sachant pas quelle contenance prendre.

-Si vous jouiez d'un autre instrument, peut-être que quelques coups de baguette sur les doigts auraient été indiqués. Mais dans ces conditions, ce seront vos fesses dont il va être question. Donnez-moi votre culotte et présentez-moi vos fesses !

Viviane le regarda, ahurie : -Ma culotte… mais pourquoi ? … vous voulez me fesser ? Pas question ! Ca ne se fait plus !

Elle essaya de prendre un air supérieur et scandalisé, mais au fond d'elle-même elle reconnaissait l'emprise que cet homme commençait à exercer sur elle. Sa voix manquait de conviction et devenait plus tremblante à mesure qu'il la regardait avec son air froid.

-Ca se fait, et vous allez en faire l'expérience tout de suite, ma petite demoiselle. Donnez-moi immédiatement votre culotte, ou je vous la retire moi-même, et votre jupe avec !

Du bout de la baguette, il leva le bas de la jupe. Viviane poussa un cri et voulut s'éloigner, mais elle était dos au piano, et s'y heurta, se sentant ridicule. Le professeur avait levé la jupe jusqu'à exposer complètement la fine culotte de son élève. Elle agrippa la baguette et tenta de l'éloigner, mais il la tenait fermement. Avec une force inattendue, à laquelle elle était incapable de s'opposer, il appuya la baguette sur le ventre et l'utilisa pour commencer à faire glisser la culotte. Viviane était outrée, jamais on ne l'avait traitée comme ça, mais elle se trouvait paralysée, incapable de s'opposer efficacement à cet homme. Calmement, celui-ci avait posé la baguette et baissait la culotte à deux mains. Il s'arrêta quand elle fut aux genoux. La jeune fille pleurait. Sans se presser, il chercha la fermeture éclair qui fermait la jupe et l'ouvrit. La jupe tomba. Viviane essaya de la retenir, mais il lui suffit de dire : –Ne bougez pas ! pour qu'elle interrompe son geste. C'est tout juste si elle ne s'excusa pas. Elle était dans un état second, sans volonté.

Il la regarda un instant, demi-nue debout devant lui. Sans réfléchir, elle mit les deux mains devant son pubis. Personne ne l'avait vue ainsi depuis que sa toison avait poussé. Il reprit sa baguette pour lui en donner un léger coup sur les mains. Elle comprit tout de suite, et docilement mit les bras le long du corps. Elle se sentait dans un état bizarre, nouveau pour elle. A la fois elle était indignée, et en même temps elle se sentait incapable de résister, elle avait honte et pourtant ne voulait pas que ça s'arrête. Avec force, il la fit basculer en travers de ses genoux. Elle poussa un cri d'indignation, mais ne fit rien pour l'en empêcher.

Il resta un moment à contempler cette jeune croupe exposée devant lui. Viviane pleurait doucement, mais ne disait rien. Une première claque lui fit pousser un cri, malgré sa résolution d'être stoïque. Les suivantes, de plus en plus fortes, eurent raison d'elle : elle supplia d'arrêter, promit d'être sage, de bien travailler, de s'appliquer… Il continua, tranquillement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus parler tellement elle pleurait. Après une dernière claque, particulièrement forte, il palpa les fesses rougies, et la fit lever.

-Reprenons la leçon. Voyons si ça vous a incitée à mieux faire attention. Reprenez le même morceau. Asseyez-vous, et allez-y !

-Mais… mais, ma jupe, ma culotte ? dit-elle d'une toute petite voix, rendue incertaine par les larmes.

-C'est avec votre culotte que vous jouez ou avec les doigts ? Vite, au piano, et ne me faites pas perdre mon temps.

En larmes, Viviane retourna sur le tabouret devant le piano. Le contact du siège sur ses fesses les rafraîchit un instant, mais aussi l'embarrassa. Elle n'avait jamais ressenti cela, et elle ne savait pas si ça lui était agréable ou non. Gênant, sûrement, mais… La voix du professeur la ramena à la leçon. –Alors, vous êtes là pour travailler pas, pour rêver !

Elle s'empressa de commencer, mais elle tremblait, ses doigts lui obéissaient mal. A la première faute, il abattit la baguette sur la haut des fesses. Elle cria. Il lui dit simplement : -Continuez ! Évidemment, ça alla de plus en plus mal, et ses reins et le haut des fesses furent bientôt couverts des marques rouges laissées par la baguette. Viviane n'en pouvait plus, elle faisait n'importe quoi. Tout à coup, elle s'arrêta, sa tête tomba sur le clavier, elle pleurait, suppliait, disait qu'elle ne pouvait plus…

-Vous êtes vraiment impossible ! Mais je ne renonce jamais, je ferai de vous une pianiste acceptable, que vous le vouliez ou non. Je l'ai promis à votre mère. Maintenant, la leçon est terminée, vous pouvez rentrer.

Viviane se leva avec peine ; elle gardait les yeux baissés, elle n'osait pas regarder celui qui l'avait tellement maltraitée. Elle avait honte de sa semi-nudité, honte de ce qu'elle avait subi, honte du trouble qu'elle ressentait confusément. Toujours sans le regarder, elle remit rapidement la jupe et la culotte qu'il lui tendait, et se dirigea vers la porte. Il la précéda, l'ouvrit, s'effaça pour la laisser passer, en homme du monde. –A la semaine prochaine, Mademoiselle, et exercez-vous régulièrement ! Elle ne répondit pas et s'enfuit.

Quand elle se retrouva seule sur le palier, sans réfléchir, sa main se retrouva dans sa culotte, cherchant son clitoris, et elle jouit immédiatement. C'était la première fois qu'elle jouissait autrement que seule sous ses draps, dans l'obscurité. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait et elle avait honte de ce qu'elle avait fait.

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