|
TROUBLES DE CONSCIENCE
Les jours suivants furent horribles. Pour commencer, il lui avait fallu aller dès le lendemain reprendre son sac à l'étude. Devant l'air froid de la secrétaire, elle avait rougi et balbutié : -Je… j'ai oublié mon sac. La secrétaire le lui donna immédiatement, avec la jupe qu'elle n'avait pas osé réclamer. Viviane rougit encore plus, saisit les deux objets et s'enfuit. Bien sûr, la secrétaire ne pouvait avoir aucun doute sur ses relations avec son patron, qui avait délibérément, Viviane en était sûre, fait en sorte de l'humilier en joignant la jupe au sac. Elle se jura qu'elle ne le reverrait jamais.
Une fois seule, Viviane fut confrontée à la réalité de sa situation : pour la première fois, elle avait trompé son mari, si gentil, si prévenant, si confiant… Elle était torturée par le remords, et en même temps ne pouvait s'empêcher d'être troublée en se souvenant de cette soirée. Elle détestait cet homme trop sûr de lui, autoritaire et brutal, pourtant son sexe se réveillait dès qu'elle pensait à lui. Et son mari n'était pas là, lui qui aurait pu la satisfaire et lui faire oublier ce faux-pas…Après quatre jours, elle se décida à appeler son amie Muriel, sans trop savoir ce qu'elle en espérait. Elles résolurent de se voir le soir même.
-Alors, comment c'était, avec ton amant ?
Viviane hurla : -Ce n'est pas mon amant !
Muriel rit : -C'est quoi, alors ?
-Je… je sais pas… un moment de faiblesse sans importance, c'est tout. D'ailleurs ça n'a pas été loin, et maintenant c'est fini.
-Et c'est pour ça que tu es venue m'en parler ?
Viviane rougit : -Mais non, je voulais seulement te voir, bavarder…
-Viviane, ne me mens pas ! Tu sais que je ne l'accepte pas, et que je n'hésiterai pas à te punir si tu oses ma cacher quelque chose. Tes fesses doivent s'en souvenir… Tu ne dis rien ? Soit, tu l'auras voulu ! DEBOUT !
Malgré son air hautain et sûr d'elle, Viviane était (et est toujours) incapable de résister à une autorité un peu ferme. Muriel la vit avec délectation se lever, encore plus rouge, si c'était possible. Elle lui fit signe de venir s'allonger en travers de ses genoux. Viviane obéit, comme dans un état second. Le ton de son amie et le souvenir de la fessée qu'elle lui avait infligée quelques jours plus tôt la troublaient. Une fois de plus, elle obéissait, et se détestait d'obéir.
Elle s'allongea comme Muriel le lui ordonnait. Elle avait envie de protester, mais ça ne donna que des non… non… presque inaudibles. De toutes façons, Muriel était bien décidée à mener la correction jusqu'au bout. Avec des gestes décidés et précis, elle troussa Viviane, découvrant un fin collant gris à travers lequel on distinguait une petite culotte de dentelle. Rapidement, le collant se retrouva aux genoux, suivi de la culotte blanche. Les fesses de Viviane étaient maintenant exposées aux yeux de son amie, et bientôt à ses mains. Les timides protestations continuaient : -Non, Muriel… je t'en prie, pas ça… pas la culotte… non…pas la fessée… non…
Évidemment, Muriel n'en tint aucun compte, et dès que les fesses furent nues, elle commença. Quelques claques modérées d'abord, puis de plus en plus fortes. Très vite, Viviane se mir à crier, puis à pleurer. –Muriel, je t'en supplie, arrête… je vais tout te dire… arrête…
Muriel ajouta quelques claques, et s'arrêta, sans toutefois la laisser se relever.
-Alors ? J'attends… Qu'est-ce qui s'est passé avec ton amant ?
Viviane pleurait de douleur, de rage, de honte, et avait de la peine à parler.
-Et bien, je suis allée chez lui…
Peu à peu, elle raconta tout : Comment il l'avait fessée pour lui faire dire pourquoi elle était venue, comment il l'avait prise demi-nue, le trajet en voiture, comment il l'avait obligée à se caresser et à jouir sous ses yeux, enfin le retour sous un vieux manteau…
Muriel la maintenait à plat ventre sur ses genoux, l'obligeant à donner les détails les plus intimes et le fessant chaque fois qu'elle estimait qu'elle n'était pas suffisamment sincère ou pas suffisamment précise. Peu à peu, était-ce l'évocation de ces évènements ou la honte d'en parler dans cette position humiliante, Viviane commença à être excitée. Elle n'avait jamais été attirée par les femmes, mais maintenant, sentant le corps de Muriel et sa chaleur si proche, c'est d'elle que, confusément, elle attendait la satisfaction dont elle avait besoin. Toutefois, on lui avait toujours dit, dans sa famille, qu'être attirée par une femme était un vice condamnable. Bien sûr, elle se considérait comme émancipée de ces interdits d'un autre âge, mais il lui en restait quelque chose, l'idée vague que ce n'est pas bien.
Muriel n'avait pas de ces scrupules. Bien que préférant nettement les hommes, elle ne dédaignait pas un beau corps de femme, quand l'occasion se présentait. Et c'était justement le cas à ce moment : sentir tout contre elle le corps de Viviane abandonné, après le plaisir certain qu'elle avait pris à la fesser la décida. D'un geste rapide, elle mit la main entre les cuisses de Viviane, chercha le clitoris, l'effleura puis le caressa franchement, provoquant d'abord un raidissement et un Non incertain, puis l'abandon complet. Elle continua un peu, puis prit la tête de son amie, elle l'introduisit sous sa jupe.
-Écarte ma culotte et suce-moi !
Elle avait pris son ton le plus autoritaire, et constata vite que Viviane obéissait et plaquait sa bouche contre ce sexe qu'elle n'avait jamais vu. Elle jouit très vite en serrant la tête de Viviane entre ses cuisses, puis s'attacha à lui rendre la pareille.
Une demi-heure plus tard, elles étaient toutes les deux nues. Viviane se serrait contre son amie. Mais bientôt, maintenant qu'elle était satisfaite, ses scrupules revenaient, et tout à coup elle s'éloigna et chercha de quoi se couvrir. Muriel réagit tout de suite : -Reste ici !, reprenant son ton autoritaire. Viviane se mit à pleurer. –Que va dire mon mari ?
Muriel rit : -Ce qu'il ne sait pas ne lui fera aucun mal. Et puis avec moi, ce n'est pas comme avec ton avocat.
Ce rappel redoubla les larmes de Viviane. –Tu crois que je suis vraiment une perverse ? Qu'est-ce que je vais devenir ?
Elles parlèrent longtemps, sans que Muriel réussisse à atténuer le sentiment de culpabilité de Viviane. Mais il n'est pas sûr qu'elle l'ait vraiment voulu : elle trouvait les larmes de son amie très excitantes, au point que trois fois, au milieu de la conversation, elle exigea de nouveau que son amie la satisfasse. Viviane le faisait après des protestations dont Muriel ne tenait pas compte mais, son amie l'obligerait à le reconnaître, cela l'excitait, ce dont témoignait l'humidité de son vagin que des doigts indiscrets venaient régulièrement constater.
*****
Viviane rentra encore plus troublée, partagée entre sa mauvaise conscience et le besoin de jouir de nouveau. Enfin, son mari rentra, toujours aussi amoureux, elle ne lui dit rien de ce qu'elle considérait comme des fautes graves, puis comme des fautes moins graves, et peu à peu n'y pensa plus trop souvent.
Un matin, son mari était rentré depuis près de deux mois, le téléphone sonna : -Ici la secrétaire de Maître Fauve. Il vous attend aujourd'hui à 17h, et elle raccrocha sans attendre la réponse.
Évidemment, la première réaction de Viviane fut l'indignation. Cet homme se permettait de la convoquer ainsi sans s'inquiéter de son accord ou même de sa disponibilité, comme une putain. Et il ne l'appelait même pas lui-même ! La secrétaire, celle qui lui avait rendu sa jupe, ne pouvait avoir aucun doute sur leurs relations, ce qui rendait cette sommation encore plus humiliante. Et bien, elle n'irait pas, elle n'était pas à ses ordres ! Son mari était là, elle n'avait aucune raison de recommencer ce qui ne pouvait se justifier que par la frustration. C'était décidé, elle n'irait pas, il pourrait l'attendre autant qu'il le voudrait…
A 17h, elle sonnait à la porte de l'étude. Elle s'était dit qu'elle allait dire son fait à ce malappris prétentieux, puis partirait avec dignité.
A 17h. 30, elle était courbée sur le bureau, la jupe largement relevée, la culotte par terre, et le sexe de l'avocat allant et venant avec vigueur dans son vagin.
Tout à coup, un téléphone sonna. Sans cesser son va et vient, l'homme se pencha, fouilla le sac de Viviane, en sortit son portable et le lui tendit. -Réponds ! Elle regarda l'écran : -Mais… c'est mon mari. Elle essaya de se dégager, mais il la tenait fermement. - Réponds-lui !
Viviane n'osa pas désobéir, mais chercha à écourter la conversation. Son mari lui disait qu'il avait un moment, et qu'il avait eu envie d'entendre la voix de sa femme, comme il le faisait parfois, en époux amoureux. Il lui demanda ce qu'elle faisait. Elle bredouilla qu'elle était avec une amie et qu'elle l'entendait très mal. L'homme avait accéléré son rythme, et elle était terrifiée par ses sensations et par la jouissance qui montait. A son soulagement, la peur coupa net son excitation, mais elle ne put émettre que quelques paroles confuses. L'homme se pencha vers son oreille : -Allons, sois plus gentille avec ton mari, ou je te fesse !
En même temps, il avait mis une main entre ses cuisses et cherchait le clitoris, qu'il caressa ; il savait qu'elle y était particulièrement sensible, et n'eut pas de peine à l'amener tout près de l'orgasme. Au téléphone, elle devenait de plus en plus incompréhensible, au point que son mari s'inquiéta, lui demandant si elle n'était pas malade. Elle dit hâtivement que non, tout allait bien, et coupa la communication.
Honteuse, elle tenta d'échapper à son étreinte. –Je veux partir, c'est affreux ce que vous me faites faire. Sans répondre, il accéléra encore plus son rythme, et la caresse du clitoris devint plus précise. Affolée par la jouissance qui montait et sa honte de ce qu'il l'avait obligée à faire, elle trouva la force de repousser la main qui savait trop bien la caresser et réussit à se redresser. Rapidement, il la plaqua de nouveau sur le bureau et claqua vigoureusement une fesse. –Tu restes ainsi sans discuter, compris ? Il appliqua une nouvelle claque.
Prise entre sa mauvaise conscience, son désir de jouissance, sa honte, la peur de la fessée, et l'excitation que provoquait chez elle toute autorité un peu décidée, Viviane se soumit : -Ne… ne me faites pas mal… je serai sage. Dans son affolement, elle retrouvait un langage de petite fille qu'on va punir.
L'homme sourit, lui donna une nouvelle claque qui résonna, accéléra son rythme, et très vite elle hurla dans l'orgasme.
Il se retira, redressa Viviane et la retourna, poussant sa tête vers son sexe encore à moitié dressé. –Nettoie-moi avec ta bouche et file. Il ne faut pas faire attendre ton mari.
LECON DE MUSIQUE
La famille de Viviane était très attachée à ses traditions, et l'une d'elles voulait que les jeunes filles apprennent à jouer d'un instrument de musique. Sa mère l'avait fait, et bien qu'il y ait des années qu'elle n'avait pas touché un piano, elle insistait que ce complément d'éducation était nécessaire pour sa fille. Celle-ci n'y tenait pas, mais puisqu'il fallait y passer… Pendant des années elle était allée une fois par semaine chez une vieille demoiselle très gentille, et pas trop exigeante. Viviane avait 16 ans quand la brave dame décida qu'il était temps, à 72 ans, de prendre sa retraite et de s'installer à la compagne.
Viviane espérait que ce serait l'occasion d'arrêter, mais ses parents, en fait surtout sa mère, ne cédèrent pas. Après quelques conciliabules avec des amies et des cousines, elle fit son choix : un homme, cette fois, qui avait la réputation d'être très exigeant et d'obtenir d'excellents résultats. Viviane essaya bien de discuter, mais devant la détermination maternelle elle céda, se réservant d'être ferme sur d'autres points, beaucoup plus importants, comme de pouvoir sortir avec son amie Muriel et en même temps, mais ça elle ne le disait pas, avec son copain Antoine. Et un prof homme, ça lui convenait, elle le mettrait dans sa poche, comme tous les autres. Viviane était une séductrice précoce.
Elle s'attendait à un équivalent masculin de la vieille demoiselle. Elle se trompait. Son nouveau professeur semblait avoir à peine dépassé la quarantaine, était très élégant, et il l'accueillit avec une politesse froide, ne semblant pas remarquer le sourire séducteur de sa nouvelle élève. Il lui fit raconter ce qu'elle était supposée avoir appris, et lui dit de jouer un des morceaux qu'elle avait mentionnés. D'un air nonchalant, Viviane s'installa au piano et commença à jouer. Le professeur l'écoutait avec attention, marquant la mesure avec une baguette. Quand elle eut terminé, elle le regarda, l'air satisfait, mais lui gardait un air mécontent.
-Vous pensez avoir bien joué ?
-Euh… j'ai peut-être fait quelques fausses notes…
-Quelques fausses notes ? Vous avez massacré ce morceau ! Essayons en un autre, et prenez garde. Sinon… Il fit un grand geste avec sa baguette, qui siffla.
Viviane se remit au travail, furieuse : jamais la vieille demoiselle ne lui avait parlé comme ça. Elle ne voulait pas le reconnaître, mais elle était impressionnée par l'autorité de son nouveau professeur. Elle se donna de la peine, trop peut-être, et très vite ses doigts s'emmêlèrent, et elle fut obligée d'arrêter. Elle n'osait pas le regarder, et suggéra d'une voix incertaine : -Je vais recommencer…
-Inutile, vous ne faites aucun effort. Il faut changer de méthode. Levez-vous !
Étonnée, Viviane se leva et se tint debout, ne sachant pas quelle contenance prendre.
-Si vous jouiez d'un autre instrument, peut-être que quelques coups de baguette sur les doigts auraient été indiqués. Mais dans ces conditions, ce seront vos fesses dont il va être question. Donnez-moi votre culotte et présentez-moi vos fesses !
Viviane le regarda, ahurie : -Ma culotte… mais pourquoi ? … vous voulez me fesser ? Pas question ! Ca ne se fait plus !
Elle essaya de prendre un air supérieur et scandalisé, mais au fond d'elle-même elle reconnaissait l'emprise que cet homme commençait à exercer sur elle. Sa voix manquait de conviction et devenait plus tremblante à mesure qu'il la regardait avec son air froid.
-Ca se fait, et vous allez en faire l'expérience tout de suite, ma petite demoiselle. Donnez-moi immédiatement votre culotte, ou je vous la retire moi-même, et votre jupe avec !
Du bout de la baguette, il leva le bas de la jupe. Viviane poussa un cri et voulut s'éloigner, mais elle était dos au piano, et s'y heurta, se sentant ridicule. Le professeur avait levé la jupe jusqu'à exposer complètement la fine culotte de son élève. Elle agrippa la baguette et tenta de l'éloigner, mais il la tenait fermement. Avec une force inattendue, à laquelle elle était incapable de s'opposer, il appuya la baguette sur le ventre et l'utilisa pour commencer à faire glisser la culotte. Viviane était outrée, jamais on ne l'avait traitée comme ça, mais elle se trouvait paralysée, incapable de s'opposer efficacement à cet homme. Calmement, celui-ci avait posé la baguette et baissait la culotte à deux mains. Il s'arrêta quand elle fut aux genoux. La jeune fille pleurait. Sans se presser, il chercha la fermeture éclair qui fermait la jupe et l'ouvrit. La jupe tomba. Viviane essaya de la retenir, mais il lui suffit de dire : –Ne bougez pas ! pour qu'elle interrompe son geste. C'est tout juste si elle ne s'excusa pas. Elle était dans un état second, sans volonté.
Il la regarda un instant, demi-nue debout devant lui. Sans réfléchir, elle mit les deux mains devant son pubis. Personne ne l'avait vue ainsi depuis que sa toison avait poussé. Il reprit sa baguette pour lui en donner un léger coup sur les mains. Elle comprit tout de suite, et docilement mit les bras le long du corps. Elle se sentait dans un état bizarre, nouveau pour elle. A la fois elle était indignée, et en même temps elle se sentait incapable de résister, elle avait honte et pourtant ne voulait pas que ça s'arrête. Avec force, il la fit basculer en travers de ses genoux. Elle poussa un cri d'indignation, mais ne fit rien pour l'en empêcher.
Il resta un moment à contempler cette jeune croupe exposée devant lui. Viviane pleurait doucement, mais ne disait rien. Une première claque lui fit pousser un cri, malgré sa résolution d'être stoïque. Les suivantes, de plus en plus fortes, eurent raison d'elle : elle supplia d'arrêter, promit d'être sage, de bien travailler, de s'appliquer… Il continua, tranquillement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus parler tellement elle pleurait. Après une dernière claque, particulièrement forte, il palpa les fesses rougies, et la fit lever.
-Reprenons la leçon. Voyons si ça vous a incitée à mieux faire attention. Reprenez le même morceau. Asseyez-vous, et allez-y !
-Mais… mais, ma jupe, ma culotte ? dit-elle d'une toute petite voix, rendue incertaine par les larmes.
-C'est avec votre culotte que vous jouez ou avec les doigts ? Vite, au piano, et ne me faites pas perdre mon temps.
En larmes, Viviane retourna sur le tabouret devant le piano. Le contact du siège sur ses fesses les rafraîchit un instant, mais aussi l'embarrassa. Elle n'avait jamais ressenti cela, et elle ne savait pas si ça lui était agréable ou non. Gênant, sûrement, mais… La voix du professeur la ramena à la leçon. –Alors, vous êtes là pour travailler pas, pour rêver !
Elle s'empressa de commencer, mais elle tremblait, ses doigts lui obéissaient mal. A la première faute, il abattit la baguette sur la haut des fesses. Elle cria. Il lui dit simplement : -Continuez ! Évidemment, ça alla de plus en plus mal, et ses reins et le haut des fesses furent bientôt couverts des marques rouges laissées par la baguette. Viviane n'en pouvait plus, elle faisait n'importe quoi. Tout à coup, elle s'arrêta, sa tête tomba sur le clavier, elle pleurait, suppliait, disait qu'elle ne pouvait plus…
-Vous êtes vraiment impossible ! Mais je ne renonce jamais, je ferai de vous une pianiste acceptable, que vous le vouliez ou non. Je l'ai promis à votre mère. Maintenant, la leçon est terminée, vous pouvez rentrer.
Viviane se leva avec peine ; elle gardait les yeux baissés, elle n'osait pas regarder celui qui l'avait tellement maltraitée. Elle avait honte de sa semi-nudité, honte de ce qu'elle avait subi, honte du trouble qu'elle ressentait confusément. Toujours sans le regarder, elle remit rapidement la jupe et la culotte qu'il lui tendait, et se dirigea vers la porte. Il la précéda, l'ouvrit, s'effaça pour la laisser passer, en homme du monde. –A la semaine prochaine, Mademoiselle, et exercez-vous régulièrement ! Elle ne répondit pas et s'enfuit.
Quand elle se retrouva seule sur le palier, sans réfléchir, sa main se retrouva dans sa culotte, cherchant son clitoris, et elle jouit immédiatement. C'était la première fois qu'elle jouissait autrement que seule sous ses draps, dans l'obscurité. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait et elle avait honte de ce qu'elle avait fait.